Le bar ( entre 23 heures et minuit)

La porte du bar s'ouvri, et un humain pas très vieux entra. Il portait un pantalon camouflage urbain, et un t-shirt noir. C'était un loup-garou sous forme humaine bien sur. Il s'avanca vers le bar et s'y adossa. Il jeta un regard sur les gens dans le bar, puis se retourna pour commander un whisky. Il paya et s'assit a une table dans un coin sombre. Il commenca a boire en silence sans parlé a personne.

Balthazar avait vu cet homme venir d'un drôle de regard, puis, lorsqu'il avait reconnu son odeur de garou, il souria. Les garous avaient ce talent pour se reconnaître entre eux, ou bien est-ce que le barman, puisque l'autre homme n'avait pas l'air de le reconnaître. Enfin, il lui servit son verre et prit son argent sans parler, mais quelques minutes plus tard il décida de lui adresser la parole.

- Alors, il est bon mon whisky ?

Dit le borgne toujours souriant.

Le jeune homme leva lentement la tête pour regarde le borgne qui lui parlait. Il hocha la tête, puis prit une autre gorgé. Ensuite il inclina poliment la tête et dit:

- IL est excellent, monsieur. Puis-je savoir votre nom?

Le jeune homme croisa les bras et obersva l'homme. Il avait une odeur de garou, donc de sa race.

Balthazar ne se fit pas prier pour répondre.

- Balthazar monsieur. Propriétaire de la bâtisse, enchanté de vous connaître.... ?

Il laissait sous-entendre une interrogation en espérant que son vis-à-vis complèterait sa phrase. C'est une vieille méthode de faire les présentations. Il présenta sa grande main munit de long doigt solide de guépard, prête à serrer celle de Damael.

- Damael. Je m'appel Damael, monsieur Balthazar.

Il leva la main et serra énergiquement celle du propriétaire.

- Enchanté de vous connaître, monsieur.

Il sourit. Puis regarda le bar, comme s'il l'évaluait.

- C'est un beau bar. Beau batîment, et spacieux. Vous devez être content d'être propriétaire.

Balthazar aimait toujours les compliments, comme tout le monde d'ailleurs. Il aimait bien ce petit tas de brique qu'il avait fait construire pour ce faire un peu de bidou. Il en avait besoin dans ce temps-là, énormement besoin. Depuis, il n'arrive plus à ce détacher de ce bar.

- Biensur que je suis content. Je suis très fier de ce bébé la ! Surtout avec la popularité qu'il a... pas meilleure moins de faire de l'argent dans cette petite ville infesté de zombies. Et vous, Damael, comment vous faites votre argent ? Si ce n'est pas trop indiscret...

- Je travail un peu partout, j'essai de me trouver un boulot, enfin... Dans les villes ou j'ai été avant, je tentais de me faire du boulot, et quand on découvrait ce que j'étais, je partais.

Il haussa les épaules, puis demanda:

- Vous savez s'il y a un endroit ou des employés sont demandé?

Balthazar souria et jeta un regard à son bar, vide. Un peu plus tôt, il était plein... et Balthazar avait perdu toutes ses serveuses il y a quelque temps.

- Hum... je crois que je sais ou vous pourriez travailler. Je n'ai plus aucune serveuse ici, toutes parties. Vous n'avez peut-être pas le même attrait, mais je crois que vous pourriez m'être d'une grande aide. Qu'en pensez-vous ?

Il sourit.

- Cool! J'accepte tout de suite, monsieur! Merci!

Souriant comme un gamin joyeux, il se leva et serra la main du patron. Puis il arrêta de faire le gamin et reprit son sérieux. Puis il dit:

- Je peux commencer quand vous voulez monsieur. AU salaire minimum s'il le faut.

Son contentement était tout ce qu'il fallait. Mais il restait une étape avant de pouvoir l'embaucher. Une épreuve... essentielle pour le garou.

- Bien, mais avant que je ne te laisse travailler pour moi, il va me montrer comment tu tues. Demain, c'est la pleine lune. On se rejoind à minuit au cimetière. Qu'en penses-tu ? Allons ravager ces pierre tombales !!

Biensure une telle proposition, le refus était impossible. Damael n'allait certainement pas faire exception.

Le lycan regarda l'homme quelques secondes. Comment dire qu'il ne tuait pas? Mentalement, il poussa un juron, mais il ne put refuser et dit:

- D'accord, monsieur. Je vous suivrai avec joie.

Il sourit, puis inclina poliment la tête.

Il souria. Pour Balthazar, un garou qui ne savait pas se battre n'existait pas.

- Bien. Soyez bien au rendez-vous !1 Si vous arrivez trop tard, il n'y aura peut-être plus de zombie pour vous...

Puis, il lui tourna le dos et continua de laver ses tables.

IL fut soulagé. Des zombies, c'était parfais. Il pouvait 'tué' sa. C'était seulement les humains qu'il refusait de tué, Dieu seul sait pourquoi.

- J'y serais, ne vous en faites pas m'sieur.

IL inclina a nouveau la tête, puis se leva.

- Je vais allez voir là-bas tout de suite. Je veux m'habitué au terrain, et me pratiquer un peu. A plus tard, monsieur.